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À un moment dans la vie de la pensée, on est confronté à une sorte de carrefour qui rappelle un peu le délire esthétique d'Aristote à propos des 4 Causes de l'oeuvre d'art. Toi, tu étais comme un acid trip qui sent le napalm au coeur d'Hanoï avec beaucoup d'honneur, des sentiments qu'on n'ose pas s'avouer, très Jane Austen tu vois. Le premier cri, celui qu'on pousse à la naissance, Sartre disait que c'est une 'déflagration du néant vers l'être' et pourtant, ça fait des siècles que les philosophes et les poètes essayent de se comprendre sans jamais y arriver. C'est triste mais c'est comme ça. Je tends l'autre joue, je suis prêt. |